Désolé
pour la traduction, mais je n'ai pas eu le temps, la traduction
vient de Internet.
Famille
Arilla/Aurillac/Arellac
Le
nom de famille Aurillac est clairement français. Cependant, les
raisons de leur présence en Espagne peuvent être très différentes.
Je favorise, tu évoques le problème cataro et peut être une
bonne hypothèse. D'autre part, Aurillac déjà celle-ci presque
dans la frontière entre langue d'oil et le langue d'oc (quand
je parlerai avec mon belle-- qui est oriunda de ce quartier dans
occitan parfois est difficile parce que n'est pas ce dernier
occitan que celui de Toulouse) et vraiment non se quelle a été
ici l'influence du catarismo (il le surveille). Il y a en outre
des frontières très subtiles entre ce qu'on appelle « la
chataigneraie » dans le sud du Cantal qui surveillait plus
vers Rodez et Figeac et le nord de cette province. Je seconde,
le Comte Barcelone (si je ne me trompe pas, mais de toutes manières
était quelqu'un de la Couronne d'Aragon) tenia des territoires
vasallos par ces terres qui a donné dans une forme de charge
principalement à l'Ordre du Temple et qui passe ensuite ce qui
est Hospitaliers ; donc les liens entre ces territoires soient
très anciens et non seulement par des réfugiés. Tiers, l'émigration
française a été très nombreux tout au long des siècles dans
le territoire de la péninsule. Il ne faut pas oublier que le
pas du rite Visogodo, qui prevalia en Espagne, au rite romain
est allé principalement à charge de moines de Cluny français.
Après sa reconquête Tolède par exemple tenia Juridictions
différentes pour les Mozarabes et les Francs ; il est de dire
très l'importance de cette émigration déjà au sud du pays ;
sans parler de l'importance des négociants francs le long du
chemin Santiago. Dans l'apogée de l'Empire espagnol très
nombreux c'ont été les « Francs » qui ont venieron
travailler à l'Espagne et qui après quelques années se à
leurs terres un peu plus riches. Très près du peuple de ma
femme (dans le Cantal) tu trouves des propriétés qui sont
appelées par exemple « Plus de le Soleil ». C'est
un mystère linguistique qui et promis faire des recherches.
Quant le je lie Arilla/Aurillac non se qui me juger pour
l'instant mais iria avec des soins.
Celui
qui a envoyé le message précédent sur les Arellac, que non
Aurillac, j'ai précisément été, puisqu'elle avait localisé
le nom de famille dans tu Pries dans la seconde moitié du siècle
XVIII (1755), quand un transporteur apparaissait comme parrain
d'un baptême, étant le médecin du peuple. En ce qui concerne
Arellac, c'est un nom de famille toponímico occitano, tout
comme toutes les finies dans - ac (connue serait le Cognac), qui
sont dérivé d'un toponyme romain - acum, qui dans chaque
langue a comporté une dérivation générale (dans catalan -
ona, comme Tarragone ; en Aragon - aco ; etc.). Le nom de
famille Arilla est un de desquels je n'ai pas une etimología
explicative pour l'instant, tout comme l'Arialla, qui pourrait
être ce dernier. Je peux seulement decirte que j'ai des données
de l'existence des deux noms de famille en Isuerre et en
Uncastillo, à Cinq Villes, plus la possibilité qui entre les
registres que j'ai apportés du dernier voyage il apparaît
quelques plus. Si Arellac peut avoir dérivé en Arilla, je te
dirai qu'il est possible, puisque les noms de famille d'origine
étrangère sont assimilés parfois quelqu'un qui existe préalablement
dans le lieu, mais ce qui crois est que non tous les Arilla
viennent d'un certain Arellac. Je n'ai trouvé aucun toponyme en
rapport avec Arilla, ni en Espagne ni en France. Dans les
fogajes de de 1495 apparaît le nom de famille Ariella à
Saragosse et Villamayor, l'Arnillas en Villamayor. Je ne trouve
pas d'autres noms de famille semblables dans la liste des
fogajes. Vu tout cela, je crois qu'il est mieux de n'risquer
rien plus, puisque je ne possède pas de données concrètes sur
le nom de famille.
D'abord je vous remercie pour le
travail qui vous avez prises en chercher quelque chose sur mon
nom de famille, et en outre avec tant de rapidité. Je crois
rappeler qu'une compagnon de cette même liste se montrait fière
par la bonne volonté montrée par tous quant au sujet les
dialectes ou les langues plus petites et, certainement, crois
qu'est aussi quelque chose assez positif que de nos jours
quelqu'un est pris temps en résoudre par amour à l'art des
questions d'autres personnes qui, pour davantage de inri, sont
inconnues entre eux. Pour ne pas produire 4 ou 5 messages qui
entraînent davantage de perte de temps pour ceux-là qui ne
veulent pas le lire, vous je réponds tous dans un seulement.
Effectivement, Mª Lluïsa, fait peu ai localisé ce web qui
m'indiquais, où il peut être vu y compris l'escudo d'armes du
nom de famille Arilla. Ce qui est intéressant de cette page est
la possibilité de laisser des messages qu'ont les utilisateurs,
puisque pourrait se produire le cas de trouver ici même avec un
certain parent éloigné qu'il ait déjà la généalogie la
plus avancée qu'un même. Comme anecdote amusante - choses de
la généalogie et de l'Internet, la semaine passée je suis
entré à nouveau pour vérifier s'il y avait de nouveaux
messages et je me suis trouvé avec un d'un parent avec lequel
faisait temps qu'il ne contactait pas. À partir là maintenant
nous avons un contact fluide par ce moyen, chose qui n'était
avant pas possible pour ne pas connaître nos comptes de
courrier électronique. _ quant Aurillac, Arellac et Arilla,
Manuel, après écrire hier entrer dans le web qui le amical
Eric nous avoir faire à connaître, et trouver un texte que
quelqu'un devoir écrire en temps venu aussi par certain forum généalogie,
où se on citer le Arillac. Plus proche à l'Arilla. « La
majorité des français qui arrivent à Aragon, pour des motifs
d'alentours, sont du sud de la France, d'Occitania. Il y a
plusieurs moments de venue, un qui ne laisse pas trace dans les
noms de famille étant précédent à la formation de de ce que
nous connaissons aujourd'hui comme noms de famille et autres
postérieurs. Ce qui est précédent est déterminé par la
reconquête du territoire aux musulmans (il ne faut pas oublier
que la majorité de d'eux n'étaient pas arabes, mais
hispaniques convertis à l'Islam, et que peu de baisses de sang
arabe restaient quand nous les expulserons) et à la nécessité
de disposer population chrétienne dans les zones reconquistadas,
ce pourquoi on a fait « des offres commerciales
attrayantes » pour que des chrétiens d'autres royaumes
viennent ici. Évidemment, la majorité, de zones proches,
c'est-à-dire, d'Occitania. En outre, quand les français du
nord ont envahi Occitania avec le prétexte de mettre un terme
l'hérésie il goûterait, ils ont été nombreux les réfugiés
cátaros à l'autre côté des Pyrénées, en Catalogne et
Aragon, qu'ils leur avaient formellement soutenu face à la
France (le roi d'Aragon lui-même est mort dans la bataille de
Muret face aux croisés français en combattant avec les
messieurs occitanos et d'à ce qui est cátaros). Par conséquent,
il y a eu des évêques cátaros y compris tellement au sud
comme Huesca elle-même, ce qui démontre indirectement le
volume de population abritée occitana. Postérieurement à la
formation des noms de famille, commence une immigration lente,
qui est spécialement intense quand dans les nombreuses zones du
sud le protestantisme commencera à presser et ont lieu les
guerres civiles en France (les réfugiés ne sont pas des
protestants, que l'Espagne catholique ne recevrait pas, mais
catholiques qu'ils s'enfuient de la situation, ou au moins cela
devraient dire). Quelques ils vont avec leurs noms de famille
propres (etc. sont les Albiac, Arillac,) et d'autres prennent
comme nom de famille le lieu d'origine (Comminges, comme il
commentait Jaume dans un courrier précédent, Foix, Gascón,
etc., ou le français générique). De cette période doit venir
un de mes ancêtres, de nom de famille tellement clairement français
comme Beamont (même s'un français il avait écrit Beaumont).
Dans quelques cas, les noms de famille s'adaptent à à ce qui
est castillan (ainsi, dans l'exemple, Beamonte, Comenge, etc.).
« Certainement le meilleur est de n'risquer rien et ne
pas tirer de conclusions précipitées sur de possibles évolutions
d'un mot à à un autre, et moins en ce qui me concerne que je
n'ai pas - au minus par maintenant beaucoup plus qu'illusion et
coraisonnées. Sur le nom de famille Arnillas, par exemple me
figure aussi qu'ici en Barbastro il y a une certaine famille qui
le porte. ET plus concrètement sur l'Arilla, je vous communique
certaines des choses que je sais et j'ai trouvé dans le réseau,
non par le plaisir de parler de d'un même, mais par l'utilité
qui peut avoir pour d'autres personnes. Quant à la province de
Huesca, l'Arilla que je Porto provient de Sarsa de de Calme (Sobrarbe),
où elle était Maison Arilla, et je l'ai pris de Betorz, de
maison Carruesco, où mon grand-père est venu marier. Me figure
d'autre part qu'il y a aussi Arilla en Rodellar (Somontano) et
en Yebra de Base et Solanilla (Serrablo).
Sur le Solanilla, village que je
suppose proche à Sabiñánigo et dépeuplée, et auquel
j'essaye de localiser pour aller visiter, j'ai ce qui suit : http://www.serrablo.org/revista/s118/s118a2.html
SOLANILLA. -
Dans 15 janvier de de 1788, on exposait que là ils existaient,
toujours, de familles considérées comme infanzonas, qui
montraient ses armes sur les portes de ses palais, qui étaient
: les Arilla, Escartín, López et Xavierre. Celle-ci est la brève
référence des dites lignées, par son ordre alphabétique.
ARILLA. - Est une d'anciennes maisons de Solanilla, considérée
toujours comme de famille Infanzona, dont dans des débuts du siècle
XV c'était propriétaire Pedro d'Arilla, marié avec Ana de
Buesa, à auxquels il a suivi son fils Juan, mari de María Cyprès
et Javierre, pères de Juan-Pascual Arilla et Cyprès, celui qui
dans 1686 a gagné Bourse dans le Collège Impérial et Plus
grand Santiago, de Huesca. Dans 1788 étaient reconnues comme
gentilhommes, en Solanilla, trois de ce nom de famille de nom
Joseph et un autre appelé Pedro. L'importante branche de cette
lignée avait son lot en Secorún. Pour certain, qu'il
remercierait que quelqu'un me dise à à ce qu'il se réfère précisement
avec cela de « il avait son lot dans... ». Le sujet
étymologique que commentait José Maria, me s'avère déjà
beaucoup plus complexe. Est tant très curieux le sujet des mots
en latin, comme celui de « fons arilla ». Pour le
moment, tant ces hypothèses comme celle de la toponímia française
signalent en tout cas à une origine Européenne, ce qui, dit
est de pas, m'enorgueillit. Je suppose que pourrait aussi se
produire le cas que par diverses sources on arrive avec le temps
à un même mot pour appeler différentes choses ou, pourquoi
non, au même nom de famille pour identifier à des branches
qu'il nage ils devraient voir ni dans la distance. Bien qu'avec
des noms de famille non très communs je comprenne que ceci est
déjà plus difficile. Quant au reste, et en marge de ce qui est
approprié du nom de famille tellement répété dans ce mail,
laisser me contaros mon expérience pour le moment dans ce qu'à
recherche sur d'anciens documents il se réfère. Comme j'ai dit
avant, mon grand-père est venu marier à un peuple et à une
maison qui n'était pas le sien, et avec lui est venu le nom de
famille et a disparu celui de la maison. , Plus ou moins en coïncidant
avec mes premiers pas dans la généalogie, j'ai trouvé donc
bien un tas de documents qui personne savait qu'ils étaient, et
entre lesquels on trouve écritures, testaments de dernières
volontés, « adotes matrimoniales », opérations
d'achat et vente, certifiés de de décès et de plusieurs plus,
qui vont depuis le siècle XX jusqu'à ce qui est plus anciens
que j'ai trouvés pour le moment qu'ils sont du siècle XVI. La
partie positive est ce pourquoi j'ai pu voir jusqu'à présent
que dans certains de ces documents, par exemple dans les
testaments, on inclut quantité de noms de de descendants, de témoins
et d'autres. Je suppose que j'ai dans mes mains tout cela que
tout genealogista veut avoir. Une autre chose réellement
satisfaisante a été de trouver une feuille manuscrite, datée
durant l'année 1.834, où sous le titre de « Généalogie »
certains de mes ancêtres, que malheureusement non signature,
inclut toute une série de données que je suppose seraient de
ses ancêtres. Vous vous pouvez imaginer la joie de trouver
quelque chose ainsi, parce que d'une certaine manière ce
travail perçoit sa valeur quand quelqu'un, deux siècles plus
tard, le récupérera. Entre tous les rôles, que j'espère
pouvoir transcrire avec le temps, il y a des données de toute
la zone d'influence qu'ils pourront aussi servir à d'autre gens
qui proviennent de d'ici. La mauvaise partie, s'il l'y a, serait
que la documentation n'inclut pas ce qui est relatif par nom de
famille paternel et que je suis accablé avec tant de
documentation et n'ai pas beaucoup de temps pour le consacrer.
En fin, histoire cela pour donner une note d'optimisme à à
ceux-là qui n'ont pas beaucoup de chance, et pour indiquer
celui-là une autre par l'intermédiaire de recherche comme tout
rôle sont les maisons des peuples où était gardée.
http://www.serrablo.org/revista/s118/s118a2.html
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