Désolé pour la traduction, mais je n'ai pas eu le temps, la traduction vient de Internet.
Ethymologie
S'il vous plaît, Mateo, ne me
traitez pas de Monsieur, qui ai seulement 43 années... Dans ce
forum, tous nous sommes des compagnons que nous partageons un
penchant par l'étude de la généalogie, comme science
auxiliaire de l'Histoire, et que, en outre, nous sentons la nécessité
spéciale de connaître nos origines propres. Il est normal que
nous ayons des points de de vue différents sur les différentes
questions, et s'il est ainsi, le plus normal que le monde est de
les exposer et de les contraster avec les autres. De toute façon,
en retournant à l'influence germánica en Aragon, il est
certain qu'il a été lieu proche au pas des Pyrénées par ce
qui est visigodos (concrètement ils ont pillé plusieurs zones
d'Aragon), mais il n'a pas été en Aragon où ils ont été
installés, puisqu'ils ont préféré d'autres zones. Sa zone
principale d'installation a été Terre de Domaines, en
Castille, davantage de colonies isolées dans d'autres zones de
l'Espagne, outre à Tolède, la capital, et dans les grandes
villes. Son influence dans les vallées de l'Aragonais Pyrénéen,
qui est la zone concrète et délimitée qui est étudiée dans
le web dont j'ai donné des nouvelles, est nulle. En outre, bien
que germanohablantes, son influence dans ce qui est propre
castillan est presque nulle (de mémoire mémoire les mots vêtement,
guerre et garder). En outre, ce qui est visigos étaient la
tribu germánica plus romanisée de de toutes (il convient de
rappeler que dans la bataille des Domaines Catalaúnicos, où
ils ont combattu avec les légions Romains contre ce qui est
hunos, et où est mort son roi propre, ont combattu uniformisés
et avec des légions organisées au Romain). Il est certain que
le Chemin Santiago a été en son temps une par l'intermédiaire
de pénétration idées, personnes et marchandises dans la Péninsule,
mais oublions généralement à ce sujet deux détails. D'abord,
le Chemin était parcouru spécialement par des français,
jusqu'au point dont la population française (les chroniques
l'appellent « franche ») est arrivée à être
majoritaire dans quelques lieux. Y compris (je parle de mémoire)
mémoire un soulèvement à Pampelune des francs, qui ont fait
un massacre de de navarrais de la ville. De là dérive précisément
le nom de famille « franc », et de là l'idée d'être
« franc », dans le sens de « libère »
ou de personne non soumise au paiement d'impôts ou à un lien féodal,
puisque le minuscule royaume d'Aragon (ni Huesca ni Saragosse ni
évidemment Teruel faisaient partie d'Aragon, qui était un peu
plus que Jaca et ses alentours) a voulu alors attirer une
population chrétienne en exemptant aux nouveaux habitants du
paiement d'impôts. Toutefois, ces francs étaient
fondamentalement français (et par ce mot je me réfère à des
habitants de l'actuelle France, y compris le Languedoc), avec
des contributions minuscules d'autres pays et de langues. Deuxièmement,
bien que ceci soit autre sujet, rappeler que la Culture à ces
moments était plus dans le Califato de Cordoue que dans les
territoires barbares du Nord, donc le Chemin ait prcisamente été
en réalité une de nombreuses voies de pénétration de la
culture gréco-latine sauvegardée elle-même par l'Islam en
Europe. Reespecto de celtas et gaulois, parce qu'il n'est pas la
même chose. Les celtas sont un groupe d'amplissime extension,
depuis l'actuelle Turquie (ce qui est gálatas) jusqu'à
centroeuropa, sa zone d'origine, en passant par la France,
l'Italie au nord du Pô (quelques Romains étaient celtas en réalité,
comme Pompeyo lui-même ce qui est Grands, de race celta pure),
la France, part de l'Espagne et les îles britanniques. Ce qui
est gaulois sont uniquement une de différentes lames de peuples
de langue celta (il est plus approprié de parler de langue qui
de race), et sont en réalité un ensemble de peuples qui
parlent des langues très diverses et qui sont principalement établis
dans le centre et le nord de la France et en Suisse, en arrivant
à l'Espagne certains de ses éléments, bien que de manière
isolée. Toutefois, l'évolution linguistique des langues
« galas » se écarte de de celle des langues célticas
de l'Angleterre et de l'Espagne, en donnant lieu à des
solutions idiomatiques différentes, beaucoup plus influencées
par les langues germánicas avec lesquelles ils étaient en
contact (toujours guerrier). En outre, la conquête romaine a éliminé
totalement même les langues célticas en France avant qu'en
Espagne elle-même (le bretón actuellement parlé en France ne
diminue pas de de ce qui est gaulois, mais de ritanos enfuis de
la Grande-Bretagne au petit appel la Bretagne ou la Bretagne après
les invasions de anglos, sajones et yutos dans le siècle V). En
ce qui concerne les noms de famille ou les toponymes, chaque
zone a ses solutions propres. Par exemple, entre les noms de
famille qui apparaissent dans mon arbre généalogique il est le
nom de famille Miana, puisque des parents les mien ont marié
avec des transporteurs du nom de famille, que j'ai documenté en
Luesia et aussi en date très récente dans le disparu peuple de
Ruesta, aujourd'hui exproprié pour la construction du
prisonnier d'Yesa. Il existe des transporteurs de ce nom de
famille dans la zone nord de l'Italie, et dans un premier temps
j'ai soupçonné qu'ils étaient témoignage de l'immigration de
d'italiens à Aragon, jusqu'à ce qu'il fasse de faibles jours
ai découvert aujourd'hui, en lisant un livre sur la
documentation médiévale du monastère de Leyre, l'existence
d'un peuple disparu appelé Miana dans la zone de la Valdonsella,
origine plus possible que le nom de famille (comme ce qui est dépeuplé
de Lucientes, en Longás, a donné origine au second nom de
famille de Goya, descendant par certain de Malpica d'Arba).
Comme tu vois, la solution la plus possible est toujours celle
que nous avons plus près, même si pour l'instant nous ne la
savons pas. De toute façon, je n'écarte pas que l'origine le
toponyme et le nom de famille Miana il est précisément celta,
tant en Italie comme en Aragon. Par un certain, détail. La
prononciation d'« oi » comme « ua » dans
la langue française est une invention modernísimo, nous
pourrions presque dire de d'hier, puisqu'il n'est pas produit
jusqu'à l'époque de la Révolution française, donc je ne
puisse pas l'accepter comme argument pour expliquer le
changement du nom de famille, au moins jusqu'à cette date. ET,
évidemment, jamais pour un toponyme, dont la fixation serait
plus ancienne. En outre, cette prononciation est uniquement pour
la langue française, et n'arrête pas les langues occitanas, ce
qui est plus proches à Aragon, qui maintiennent encore
aujourd'hui la prononciation « oi », comme dans la
ville de Foix. ET, évidemment, amis toujours, même si nous
divergeons. La discussion et le débat sont toujours
enrichissants, pour lesquels ils examinent et pour lesquels ils
écoutent. ET il rappelle que tous nous sommes ignorants et tous
nous cherchons la même lumière, ce pourquoi tous nous pouvons
apporter notre granit de sable, qui est de de ce qu'il s'agit.
Finalement, dans le cas du travail que j'ai commenté, il n'est
pas essayé qu'un organisme public rassemble une liaison à la
page web d'une personne, mais il s'agit d'une page propre du
Gouvernement d'Aragon, qu'il garantit ainsi la validité de l'étude,
puisqu'il convient de supposer que s'il n'était pas un travail
sérieux pas il publie.
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