Désolé
pour la traduction, mais je n'ai pas eu le temps, la traduction
vient de Internet.
Pour
que vous vous fassiez une idée de la difficulté du travail qui
êtes en posant. En Hispagen nous avons un projet pour
digitaliser (photographier numériquement) les 70 livres
sacramentels d'une importante population. Nous avons toute préparation
et la conformité du párroco. Manque seulement de le réponse
avec le consentement de l'évêché correspondant. Nous portons
une paire d'années dans la tentative et paraît qu'il est déjà
sur le point de être obtenu. L'ennui est que nous portons des
mois avec celui-là « à point » qui non il vient
d'arriver. Si cette opération arrivait à coaguler et nous la
terminerions avec des résultats efficaces pour les deux parties
intéressées on nous ouvrirait beaucoup de portes. Un Conseil.
Ni par erreur vous citiez le mot Internet. Une de le des
conditions qui nous exigent est le compromis que le résultat de
le digitalisation ne sera pas accrochée dans Internet. Il est
clair qu'ils ne veulent pas perdre le contrôle du contenu de
ses archives. Quant à obtenir une plus grande ouverture dans
les archives ecclésiastiques, j'imagine que presque tous vous
connaissez l'initiative du Web « l'Anneau » il arrête
reprendre des signatures qui soutiennent une lettre envoyée aux
évêques de le diocèse españolas.Podéis le voir et le lire
dans http://www.elanillo.com/peticion.shtml
Bien que je sois
personnellement assez pessimiste, autant que davantage d'adhésions
recevez la lettre aux évêques une plus grande probabilité
d'obtenir quelque chose. Évidemment que tout ce qui podáis
obtenir directement de le párrocos de le profitiez au maximum.
Un évêché dans contre nous peut couper l'accès à toutes les
paroisses, mais un párroco dans contre seulement il nous coupe
l'accès à sa paroisse. Donc... a par ce qui est párrocos, a
ganárselos.
Là
pour l'année 2001 nous entamons une demande dans l'Anneau de Généalogie
hispanique. à cette époque nous étions tellement frustrés
comme maintenant par le refus des évêchés de coopérer en
ouvrant les archives. Ce qui paraissait plus facile à ce
moment-là a été de peticionar par l'accès aux livres
paroissiaux espagnols microfilmados par les mormones. Ceux-ci se
trouvent en Utah, les Etats-Unis. Beaucoup de d'eux ne sont pas
prêtés hors d'Utah, par ordre spécial des évêques. Nous il
paraissait une ridiculez et pensions que si quelques
genealogistas nous signions une demande aux évêques, ceux-ci
comprendraient et lèveraient la restriction. À la fin et à
l'extrémité nous ne demandions pas de faire rien. Dire
simplement que "si" au lieu "non". Ce que
nous leur demandons n'implique aucuns frais, ressources, temps,
etc.. Puisque nous avons été tellement ingénus ! La demande a
été envoyée à 9 évêchés et après ne pas recevoir réponse
favorable de d'aucun de d'eux, il a été aussi envoyé à la
Conférence Épiscopale. Au jour de la date ils n'ont pas répondu.
Et figure que nous avons déjà plus de 700 signatures et
l'appui de beaucoup d'organisations de Généalogie. Je regrette
de être tellement pessimiste, mais s'ils ont refusé une chose
aussi simple que celle-ci, imagínense ce qu'ils diront quand on
leur demandera de photographier leurs archives, même si nous
leur assurons que le ferons nous-mêmes. Et comme dit Joaquin,
s'ils olfatean que nous pensons l'accrocher dans l'Internet,
donc ni que parler. Là se termine tout. La demande et la
chronologie de cette entreprise peut être vues dans : http://www.elanillo.com/peticion.shtml
Des années et beaucoup effort pour n'a obtenu rien. Je suis brûlée
et trop fatiguée de combattre avec les archivistes et les évêques,
mais si certaines de de vous est lancé avec une certaine
proposition concrète, disposent moi pour lui donner publicité
ou une autre chose qui est nécessaire. Mon Conseil humble : ils
essayent d'obtenir l'autorisation de de ce qui est párrocos.
S'ils acceptent, nous allons déjà par bon chemin. Ni ils
perdent du temps avec les évêchés.
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